Mais dans les quartiers, les habitants étaient sans doute plus à plaindre, les piste en terre transformées en boue, les maisons pas forcément étanches, les fondations pas forcément solides. Bilan, 11 morts sur Luanda, auxquels s'ajoutent 3 personnes retrouvées noyées dans le district de Cacuacu, et on note encore 6 disparus. C'est à chaque grosse pluie un pareil désastre. Maisons effondrées, court-circuits, noyades. Pendant les années de guerre, la population de la ville est passée de 500.000 à 5, 6 ou 7 millions d'habitants selon les sources. Les quartiers se sont étendus de façon anarchique et les infrastructures comme l'évacuation des eaux n'est pas suffisante en cas de grosse pluie. Mais à Pointe-Noire c'est pire encore, il fallait apparemment plutôt une barque pour circuler... Voyez plutôt :
On peut toujours se plaindre, on en trouvera facilement qui sont plus à plaindre encore....
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